Depuis sa création en 2005 par Albin de La Tour, ce festival s’est imposé comme un rendez-vous incontournable, mêlant musique classique, contemporaine et actuelle dans une ambiance conviviale.
« Toute cette aventure a commencé à côté de Saint-Yrieix-la-Perche, se souvient le directeur du festival. On était tout petit au début. C’est à partir de
2008 qu’on a commencé à rayonner en Haute-Vienne et à Limoges. Quand
je regarde dans le rétroviseur, je suis fier de ce qui a été accompli. 1001 Notes a dépassé mes attentes ! »
Si au commencement, le festival pouvait accueillir 200 personnes, désormais, ce sont 1 500 personnes qui peuvent être accueillies à chaque édition à la patinoire.
« Le public est varié, la moyenne d’âge tourne autour de 40 ans, ce qui est génial pour un festival de musique classique. Ça prouve que c’est pour tout le monde ».
Pour marquer ses deux décennies, le festival accueillera des artistes de renommée internationale tels que Nemanja Radulovic, Alexandre Tharaud, Jean-François Zygel et Anne Queffélec. Le duo Lucienne Renaudin-Vary trompette) et Félicien Brut (accordéon) ouvrira le bal le 15 juillet, accompagné par l’Orchestre symphonique 1001 Notes dirigé par Chloé Meyzie et le Choeur dirigé par Lynda Bisch .
Le point d’orgue de cette édition sera le concert de clôture le 19 juillet, mettant en vedette la pianiste Khatia Buniatishvili, précédée par la flûtiste Mathilde Caldérini et la pianiste Aline Piboule.
Et si on demande à Albin de la Tour de résumer le Festival 1001 Notes
en une émotion, « l’émerveillement, sans aucune hésitation. La musique classique, c’est comme un bon vin qui présente plusieurs nuances et au final,
qui est unique.
Maintenant que notre notoriété est faite au niveau national, on va se concentrer sur les 10 prochaines années et devenir un festival international».