Sollicité pour des réactions par de nombreux médias et déjà fortement interpellé sur les réseaux sociaux, il tient à rappeler que la Ville de Limoges n’a pas été informée en amont de cette annonce. Aucune réglementation ne prévoit une consultation ou autorisation préalables de la mairie dans ce type de projets. La liberté du commerce est un droit constitutionnel protégé et il n’est donc pas du pouvoir d’un maire d’interdire l’implantation d’un commerce, en dehors d’exceptions très encadrées.
Il en appelle donc à la responsabilité des consommateurs qui restent libres d’acheter ou non les produits proposés par cette marque dite de « fast fashion », mais qui pourraient plus utilement choisir d’apporter un soutien aux marques françaises et européennes du secteur de l’habillement, en grave souffrance depuis plusieurs années, et qui respectent les normes de production écoresponsables.